Voyagez en musique : ‘Olalla’ de Blanco White

Hello Folks,

Il y a des moments dans la vie où l’on se sent profondément humain… fragile face aux mystères de l’existence, mais pas pour autant effrayé, non… juste résolu à vivre et à profiter de chaque seconde sur cette terre.

La joie d’être vivant, malgré tout… c’est à peu près ce que je ressens en écoutant cette pépite, ‘Olalla’, de Josh Edwards alias Blanco White, un auteur-compositeur-interprète britannique (né le 21 juillet 1991 à Londres), qui s’est donné le temps d’apprendre le Charango (guitare Bolivienne) et la rythmique Flamenca avant de se lancer corps et âmes dans la musique.

Imprégné de voyages et de musique depuis son enfance, féru de poésie, ce jeune homme talentueux, à déjà tout compris comme le prouve ces quelques citations (voir l’article en intégralité sur le site lavagueparallele.com):

• ‘La musique que l’on écoute va varier en fonction du contexte, de nos besoins, nos émotions.’
• ‘L’une des choses les plus puissantes avec la musique est son pouvoir à te faire voyager…’
• ‘Voyager seul te fait réfléchir et prendre du recul de manière très intense en réalité, tu en apprends beaucoup sur toi-même.’
• ‘La vie est courte… Qu’il s’agisse des joies ou des peines, c’est cette réflexion permanente sur notre condition humaine qui m’habite, me nourrit.’
• ‘C’est une aventure d’être Humain aujourd’hui, une sacrée aventure. Et je pense que l’amour en est la fondation.’

Si vous aimez cette pépite, je ne peux que vous recommander d’écouter son dernier album, ‘Tarifa‘ (2023)… un opus qui lui ressemble, inspiré par une ville du sud de l’Espagne connue pour être une terre de passage et qui a joué un grand rôle dans sa guérison après d’importants problèmes de santé.

Bonne écoute…

(photo : Hu Chen)

Olalla

Oh Olalla more than a name 
Rest your eyes and stay in the shade 
You were hiding over the hill
In a quiet never so still 

Oh Olalla where will you go 
If the line ends out on the road 
There’s a story meant to be told 
But the door has shut in the cold 

Oh Olalla on the borderline 
There is a world down on it’s knees for better times 
Oh Olalla don’t you fear the night 
There’s only time left to believe 
To Believe 

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